Je pensais être en mesure de me défaire d’un burn-out maternel. Pourtant, les masques sont rapidement tombés, j’étais rigide, je contrôlais tout et lorsque je suis devenue mère, tout s’est écroulé.

Alors que je tentais de sortir d’une dépression, le breathwork qui se traduit par travail du souffle a débarqué dans mon quotidien.

Une première rencontre avec la pratique du breathwork

J’étais sous anti-dépresseurs lorsque j’ai effectué ma première séance de respiration consciente. Celle-ci était inspirée du Rebirth évoqué dans la formation. Elle m’a permis de me reconnecter à un drame familial alors que ma profonde culpabilité ne me permettait pas de l’accepter. 

Je n’arrivais pas à faire ce deuil. Pourtant, lors de cette séance, j’ai pu comprendre que ce drame, je ne pouvais pas l’empêcher ! L’expérience de la tétanie et tous les messages reçus pendant cette expérience ont été bouleversants. 

J’étais loin d’imaginer que cette expérience serait aussi intense même si la praticienne avait partagé des explications précises. À cet instant, je me promets de ne plus jamais recommencer ! 

Après la séance, l’apaisement a envahi mon corps et ce sentiment a supprimé ce poids. 

Grâce à cette première rencontre, j’ai pu respirer à nouveau ! 

Nouvelle vie et surtout nouvelle respiration

J’ai recommencé malgré ma première pensée, celle de ne jamais y retourner et chacune des participations a été une expérience bouleversante. Il s’agissait vraiment d’un voyage. Alors que je ne croyais même pas à certaines manifestations, j’ai pu découvrir avec plaisir la spiritualité. 

Au fil des jours, j’étais de plus en plus consciente que la pratique du breathwork allait faire partie de ma vie professionnelle. Malgré ma licence en psychologie, je n’avais jamais franchi le cap, celui d’accueillir des patients dans un cabinet. 

J’avais en réalité reproduit l’éternel schéma familial, celui d’être aux côtés de mon époux pour vivre son aventure entrepreneuriale. Pourtant, je savais à cette époque qu’un jour, je retournerais dans ce domaine. 

Au vu de ma dépression, le changement était attendu. 

Multiplier les expériences pour mieux transmettre

Plusieurs méthodes de breathwork ont été testées à savoir la respiration holotropique, Soma-Breath… Quelques praticiens ont pu m’accompagner comme Susan Oubari et Lucille Fauque. Cette dernière ayant suivi la formation de Léonard Orr à l’origine de la technique du Rebirth a optimisé mon apprentissage.

Aujourd’hui, je n’ai pas trouvé une méthode plus puissante que le breathwork. Elle est donc indispensable à ma pratique thérapeutique. Elle permet à mes clients de se libérer de leurs limites à la fois inconscientes et transpersonnelles. 

Après ces multiples aventures, j’ai alors décidé de vous transmettre cette méthode. Elle a bien sûr été améliorée avec mes compétences, mes connaissances, mais également mes expériences. Ces dernières années ont été bénéfiques pour mon apprentissage par rapport aux techniques du breathwork et à la respiration consciente. 

L’importance d’avoir une formation à taille humaine

N’aimant pas les formations “à la chaîne”, j’ai décidé de me concentrer sur quatre sessions par an avec 8 étudiants maximum par session de formation. Il est important de maîtriser les pouvoirs de la respiration, tout le monde ne peut donc pas s’y atteler. 

Je souhaite accompagner tous les étudiants pour qu’ils puissent à leur tour transmettre dans les meilleures conditions. Certes, je forme, mais je partage avec bienveillance mes savoirs. Je ne suis pas capable de proposer des formations avec des groupes beaucoup plus grands. 

Je préfère transmettre de cœur à cœur ! 

Un seul groupe soudé et au service de l’individu ! 

Un groupe WhatsApp sera créé dès la première journée, cela optimise la communication entre les étudiants. Ils peuvent s’entraider, mais également échanger tout au long de la formation. 

Ce même groupe sert à la supervision des pratiques pendant un an.