Le breathwork (littéralement travail du souffle) est arrivé dans ma vie alors que je tentais difficilement de sortir d’une dépression.

Tout a commencé par un burn-out maternel dont je pensais pouvoir me sortir seule. Mais ce n’était que la partie émergée de l’iceberg ! 

Rigide et contrôlante depuis aussi loin que je me souvienne, en devenant mère, par manque de temps et d’énergie les masques qui me permettaient de tenir debout (dont le perfectionnisme) sont tombés… et moi avec !

Première rencontre avec le breathwork

Ma première séance de respiration consciente (méthode inspirée du rebirth) a eu lieu alors que j’étais sous anti-dépresseurs et a été bouleversante ! J’ai reconnecté à un drame familial que ma culpabilité m’avait empêchée d’accepter, à un deuil que je n’avais pas pu faire. Pendant cette pratique, j’ai compris, notamment à travers l’expérience de la tétanie et les « messages » que j’ai reçus pendant la séance, que je n’aurais pas pu empêcher ce drame.

Malgré les explications de la praticienne, je ne m’attendais absolument pas à vivre une expérience si intense. À tel point que je suis ressortie de la séance en me promettant de ne plus jamais recommencer…

Et puis est venu l’apaisement post-séance : ce sentiment si particulier de libération, de s’être débarrassé d’un poids énorme sur la poitrine, de pouvoir à nouveau… respirer !

Respirer à nouveau

Alors, j’ai recommencé et chaque nouvelle expérience était un nouveau voyage au coeur de moi-même mais pas seulement. J’ai pu expérimenter des manifestations transpersonnelles et spirituelles auxquelles, à l’époque, je ne croyais même pas !

Peu à peu, il était devenu évident que la pratique du breathwork ferait partie de la seconde moitié de ma vie professionnelle. Licenciée en psychologie, je n’avais jamais passé le cap de m’installer en cabinet (préférant reproduire le schéma familial : l’épouse qui se met au service de l’aventure entrepreneuriale de son mari) mais je savais que tôt ou tard j’y reviendrais.

Ma dépression avait été plutôt claire à ce sujet : il était temps !

Expérimenter et transmettre

Alors, j’ai testé différentes méthodes de breathwork (respiration holotropique, soma-breath, …) avec différents praticiens (Susan Oubari, Lucille Fauque, …) et j’ai choisi de me former auprès de cette dernière qui elle-même a été formée par Léonard Orr, le créateur de la technique du Rebirth (rebirthing breathwork).

Aujourd’hui, la pratique du breathwork fait partie intégrante de ma pratique thérapeutique et à ce jour, je n’ai trouvé aucune méthode plus puissante que celle-ci pour libérer mes clients de leurs limitations inconscientes et transpersonnelles.

Mon tour est donc venu de vous transmettre cette méthode enrichie de toutes mes expériences, connaissances et compétences acquises ces dernières années sur la respiration consciente et ses multiples pouvoirs.

Une formation à taille humaine

Hors de question pour moi de former des praticiens à la chaine !

Les pouvoirs de la respiration sont trop puissants et trop précieux pour être mis dans les mains de tout un chacun.

C’est pourquoi je tiens à ce que tous mes étudiants puissent être en mesure d’accompagner leurs futurs clients dans “l’après-séance” (psy, thérapeutes, coachs, …) et à ce que chaque session de formation respiration consciente ne dépasse pas 8 étudiants.

Au delà de former, je transmets et j’ai la croyance que l’on ne peut transmettre que d’individu à individu, de coeur à coeur, d’âme à âme et je ne suis pas capable de le faire au déjà de 8 étudiants.

METTRE Le groupe au service de l’individu

Dès la première journée de formation respiration holotropique, un groupe WhatsApp est ouvert pour faciliter la communication mais aussi et surtout pour que les étudiants puissent échanger et s’entraider tout au long de la formation et à la suite de celle-ci.

C’est également par ce biais que j’assure la supervision des pratiques de chacun pendant un an après la fin de leur respiration formation en ligne.